Les Larmes du Lac fêtent leur 5 ans déjà ! Le temps passe vite.

Aujourd’hui, le livre attire toujours de nouveaux lecteurs et j’en suis ravie. Alexandre Rabor, lecteur, blogueur et auteur, a découvert mon livre le mois dernier et en a écrit une chronique agrémentée d’une interview.

L’avis d’Alexandre Rabor sur les Larmes du Lac

Ce roman est bien écrit, l’écriture est fluide comme l’histoire. L’autrice réussit à mêler Histoire et fiction pour à la fin conclure sur une fin surprenante et replacer ce roman dans son histoire personnelle.

Chaque avis est subjectif, mais me concernant j’ai beaucoup aimé ce roman intéressant et touchant.

https://alexandrerabor.blogspot.com/

L’interview

Quelques extraits :

Imaginons que tu te retrouves prisonnière dans une bibliothèque ? Qu’est-ce que tu fais ? Tu essayes de t’échapper ? Ou bien décides-tu de lire tous les livres ? Mais au fait aimes-tu lire ? Si oui, quel genre de livres aimes-tu lire ? 

Ah ah, j’adore cette idée ! C’est un de mes grands rêves, d’être bloquée dans une bibliothèque. Je pourrais y rester des heures à flâner dans les rayons, puis à lire. Je suis quelqu’un d’assez solitaire et me retrouver seule dans un endroit ne me gêne pas du tout. Je commencerais par feuilleter les livres anciens s’il y en a, rien que pour les admirer, puis à lire des récits de voyage, des essais philosophiques, des livres de poésie, du théâtre, des classiques… J’adore lire et je lis ce qui me tombe sous la main, bien que mes genres favoris restent les romans tirés d’histoires vraies, les romans de voyages ou le fantastique.  

Préfères-tu les romans, les films, les histoires qui se finissent bien ou bien celles qui se finissent mal ? 

C’est difficile à dire, car tout dépend du film dans son ensemble. En général, je préfère les fins heureuses mais quand le personnage a souffert tout le long (je suis un peu sadique non ? ). Dans certains films sur la vie d’une personne, avoir une fin dramatique ne me dérange pas du tout, au contraire, je trouve cela émouvant. J’aime quand cela reste réaliste, et la vie n’est pas toujours rose.  

Par contre, si je regarde un feel-good, je veux que les deux héros finissent ensemble dans un happy end !   

Quand j’interviewe quelqu’un, je m’intéresse à son parcours et à ses centres d’intérêt, te concernant j’ai vu que tu aimais beaucoup voyager. Peux-tu nous parler d’un voyage qui t’as marquée ? Qu’est-ce qui t’as le plus touchée ? Les gens ? Les paysages ? L’histoire ? Le dépaysement ? 

Chaque voyage me touche et m’enrichit énormément.   

Mon long séjour en Écosse m’a bien évidemment marquée à jamais, et je garde ce pays au fond de mon cœur. Un de mes premiers voyages, seule, en plus. L’accent écossais, les paysages rebelles, les gens toujours souriants, l’histoire de ce pays sont très touchants et inspirants.

Un deuxième voyage qui m’a marquée, plus touristique celui-là, est celui pour la Nouvelle-Zélande. J’ai vraiment été émerveillée par les paysages de ce pays, c’est impression de bout du monde, de retour à la nature première de la planète. Les glaciers, les lacs, les grottes, les volcans…, tout est superbe. On n’y a pas rencontré beaucoup de gens car nous suivions notre road trip avec peu de temps pour discuter avec les locaux. Mais les différentes histoires des peuples y habitant m’ont beaucoup touché, celle des maoris, celle des chercheurs d’or aussi, que j’évoque dans mon dernier recueil Itinéraires Inattendus.    

Pour terminer, je te demande de te poser une question et d’y apporter la réponse.

Ah ah, très original comme question, Alexandre ! Et pas évident…   

J’ai beaucoup de questions sans réponse ! Du genre : « Où me vois-je dans 20 ans ? » ou « Quel livre rêverais-tu d’écrire ? »… Ah, si j’en ai trouvé une : « Qu’est-ce qui m’a donné envie d’écrire ».

Là, je sais répondre. C’est l’amour des mots, mêlé à l’envie de « créer » et à mes rencontres avec des personnes qui avaient en eux cette passion de l’écriture. Étant petite, j’ai passé nombreuses de mes vacances chez un ami de mes parents qui était poète et qui accrochait des extraits de ses écrits sur les volets de ses fenêtres, afin que les passants les lisent. Tout ça a fait que j’avais envie d’écrire.

Un livre, c’est comme de la magie : parti d’une page blanche, il crée un univers entier dans l’esprit des lecteurs. C’est exceptionnel et tellement grisant ! Avec l’écriture, tout devient possible. 

https://alexandrerabor.blogspot.com

Lire l’interview complète ici.

Merci Alexandre pour ce bon moment !